L’écriture chinoise

Histoire de l’écriture chinoise

Nous devons les dictionnaires chinois essentiellement à trois prêtres jésuites qui ont passé la majeure partie de leur vie en Chine, envoyés à l’origine par leur congrégation pour y apporter l’enseignement de l’Evangile. Grâce à leur travail, nous accédons en plus à la connaissance des caractères depuis les temps les plus anciens.

Tout d’abord Matteo Ricci (portrait ci-contre),
né le 6 octobre 1552 à Macerata (Italie) et décédé le 11 mai 1610 à 北京 Pékin,
est un prêtre jésuite italien et missionnaire en Chine.
Ricci initia le processus d’inculturation du christianisme en Chine.

Puis Séraphin Couvreur,
né le 14 janvier 1835 à Varennes dans la Somme (France) et décédé le 19 novembre 1919 à 鬳 縣 Xiàn Xiàn en Chine : c’est un prêtre jésuite français, missionnaire en Chine.
Lexicographe et sinologue de renom il composa (ou traduisit) une quinzaine d’ouvrages dont cinq dictionnaires.

Pratiquement contemporain de Séraphin Couvreur, Léon Wieger, né le 9 juillet 1856 à Strasbourg (France) et mort
à 西安 Xī’ ān dans le Hebei (Chine) le 25 mars 1933, est un médecin et prêtre jésuite français qui fut missionnaire et sinologue. Il a passé la plus grande partie de sa vie adulte en Chine, notamment au vicariat apostolique du Tché-Li Sud-Est (fondé en 1856), devenu ensuite vicariat apostolique de鬳 縣 Xiàn Xiàn(1924).

Dans le sommaire historique des “Caractères Chinois”, S.J. Léon Wieger nous fait une description remarquable des caractères chinois et de leur évolution, depuis leur invention jusqu’aux caractères classiques. Le texte qui suit reprend celui du Père Wieger :

“La tradition attribue l’invention des caractères chinois à 伏羲 Fou Hsi (fú xī), et leur systématisation à 黃帝 Hwang Ti (huáng dì), environ 2700 ans A.C.

Les premiers chapitres des annales datent du 22ème siècle A.C. Il est peu croyable que ces textes aient pu être transmis d’abord par tradition orale seulement. Admettons donc, dit Wieger, avec tous les auteurs chinois, qu’on écrivait avant le 22ème siècle A.C.

L’écriture commença par être un instrument de gouvernement, d’administration. Elle servait à renseigner le souverain, à transmettre ses volontés à ses officiers, à conserver ses édits dans les archives.

Les 史 Cheu (shǐ), annalistes, greffiers, scribes, étaient formés dans des écoles officielles, sous la direction d’un 太史 T’ai Cheu (tài shǐ).

Les plus anciens caractères qui soient parvenus jusqu’à nous dans leur forme originale sur un bronze de la dynastie des 夏 Hsia (xià), peuvent remonter au 23ème siècle A.C.

Des bronzes de la dynastie 商 Chang (shāng) remontent au 18ème siècle A.C.

La dynastie 商 Chang (shāng) et la troisième dynastie 周 Tcheou (zhōu) (18ème  au 12ème siècle  A.C.) nous ont légué, à elles deux, environ 1098 caractères, contenus dans 400 et quelques inscriptions.

Les autres caractères anciens connus nous ont été transmis par des transcriptions.

L’examen de ces 古文 Kou Wen (gǔ wén), graphies antiques (caractères archaïques), montre que leur composition était bien définie, mais que leur forme variait beaucoup. Plus de 4200 variantes sont répertoriées, pour les 1098 caractères conservés sur les bronzes.

Vers l’an 800 A.C. l’annaliste impérial 籒 Tcheou (zhòu) dressa, pour l’usage des scribes officiels, un catalogue des caractères existants, donc il détermina la forme obligatoire dorénavant.

La comparaison des graphies de la troisième dynastie montre que l’œuvre de 籒 Tcheou (zhòu) fut plus qu’une sèche nomenclature. Ce fut presque une nouvelle création.

Le système restant le même, une écriture plus simple remplaça les anciens dessins trop compliqués.

Les philologues chinois appellent ces caractères 籒文 Tcheou Wen (zhòu wén) ou 大篆 Ta Tchwan (dà zhuàn) (grande écriture), ou 蝌蚪字 Keu Tou Tzeu (kē dǒu zì), têtards.

Voici l’origine de cette dernière appellation:

Au second siècle A.C. en démolissant la maison de Confucius, on trouva dans une cachette des vieux livres écrits dans des caractères de cette espèce.

恭 Kong (gōng), prince de Lou, qui n’était pas savant, s’écria, en voyant ces grosses têtes étirées en filaments grêles: “ce sont des têtards!”. Le terme est resté.

A mesure que la décadence de la dynastie 周 Tcheou (zhōu) s’accentuait, les études étant négligées, les 史 Cheu (shǐ), scribes, devinrent de plus en plus ignorants.

Quand ils ne se rappelaient pas le vrai caractère, ils en improvisaient un faux, sans vergogne. Ces fausses lettres, recopiées par d’autres ignorants, devenaient usuelles.

C’est 孔子 Confucius qui nous donne ces renseignements. Vers l’an 500 A.C. il gémit ainsi:

“Dans ma jeunesse j’ai encore connu des scribes qui laissaient en blanc les caractères qu’ils ne savaient pas écrire. Maintenant, il n’y en a plus de pareils!”

Aussi les 奇字 Tchi Tzeu (qí zì), lettres bizarres, se multiplièrent-elles à cette époque presqu’à l’infini, au grand détriment de l’étymologie.

Vers l’an 213 A.C. 李斯 Li Seu (lǐ sī) légiste, premier ministre de l’empereur 秦始皇帝 Tsin Cheu Hwang Ti (qín shǐ huáng dì 259-210 A.C.) qui fit brûler les livres, publia un nouvel index officiel de caractères, auxquels il assigna une forme désormais obligatoire pour les scribes.

Sa collection, intitulée 三倉 San Tsang (sān cāng), contenait 3300 caractères. On appela cette écriture 小篆 Siao Tchwan (xiǎo zhuàn) (petite écriture).

L’examen de l’œuvre de 李斯 Li Seu (lǐ sī) révèle deux faits :

  • Il ne créa aucune nouvelle primitive, mais se contenta de composer, au moyen d’éléments préexistants, des noms pour des objets que l’antiquité n’avait pas connus. La période de création et d’évolution des caractères fut donc terminée certainement avant 李斯 Li Seu(lǐ sī), probablement bien des siècles avant lui.
  • Induit en erreur par les 奇字 Tchi Tzeu (qí zì) alors si nombreux, 李斯 Li Seu (lǐ sī) interpréta mal la composition de bien des caractères, et les fixa pour la postérité sous une forme erronée”.
    Léon Wieger signale ces “bourdes” dans les leçons étymologiques.

Il continue son récit de façon toujours aussi savoureuse :

“Peu d’années après l’édition du catalogue de 李斯 Li Seu (lǐ sī), une ère nouvelle s’ouvre dans l’histoire des caractères.

Deux faits la caractérisent:

  • Multiplication excessive,
  • Transformation excessive.

Causes de la multiplication excessive des caractères :

D’abord l’ignorance des scribes, laquelle continua à enfanter des monstres que la postérité copia stupidement.

Puis le besoin de dénommer des choses neuves. L’empire grandissait, les connaissances s’étendaient, l’écriture était tombée dans le domaine public, le procédé phonique 形聲 Hsing Cheng (xíng shēng) était facile.

Tout le monde s’y mit.

De cette fermentation tumultueuse, sans direction, sans contrôle, sans critique, sortirent, en sus des caractères utiles, des milliers de doubles inutiles.

Il n’en pouvait advenir autrement, avec des centres de fabrication multiples et des idiomes locaux divers. L’index de 李斯 Li Seu (lǐ sī) contenait 3300 caractères. En deux siècles il fut complété sept fois, et la septième édition, publiée au début de l’ère chrétienne, contient 7380 caractères.

Deux siècles plus tard, il y en avait 10000.

Le dictionnaire dit de 康煕 Kang Hsi, (kāng xī) de 1716, contient 40000 caractères, lesquels se divisent, en chiffres arrondis, de la manière suivante:

  • 2000 caractères d’un usage courant,
  • 2000 noms propres et termes peu usités,
  • 34000 monstres de nul usage.

Nous sommes loin des légendes qui donnaient à la langue chinoise 80000 caractères usuels.

Causes de la transformation successive des caractères :

“D’abord, le changement des instruments et des matériaux servant à l’écriture :

Les anciens écrivaient sur des lattes ou sur des planchettes, avec une plume à réservoir, dont ci-contre la figure, d’après un bronze de la deuxième dynastie.

En haut le baquet à encre, un vernis noir, probablement.

“Je pense que (dit Wieger), dans le tuyau en bambou, était passée une mèche, laquelle régularisait le flux de l’encre”.

Ce flux pouvait être arrêté en bouchant le haut du tuyau.

Un pareil instrument va comme on le pousse, dans tous les sens, en arrière aussi bien qu’en avant, traçant des lignes toujours du même calibre, droites et courbes à volonté.

Aussi voit-on, dans les 古文 Kou Wen (gǔ wén), (caractères archaïques), dans les 大篆 Ta Tchwan (dà zhuàn) (grande écriture) de 籒 Tcheou (zhòu) et les 小篆 Siao Tchwan (xiǎo zhuàn) (petite écriture) de 李斯 Li Seu (lǐ sī) , des figures rondes, ovales, sinueuses, souvent fort compliquées, mais sans pleins ni déliés.

Or peu de temps après l’édition du catalogue de 李斯 Li Seu (lǐ sī), 程邈 Tch’eng Miao (chéng miǎo) inventa un crayon de bois à pointe effilochée, qu’on trempa dans le vernis noir, pour écrire sur des bandes de soie.

Les lignes tracées par ce grossier instrument, sur une matière moins ferme et moins unie que le bois, furent épaisses et disgracieuses.

Les figures rondes devinrent carrées, les lignes courbes se brisèrent à angle droit. Mais on écrivait beaucoup plus vite, et les écrits étaient moins encombrants.

Aussi l’instrument fut-il adopté pour les actes publics, et les 隸字 Li Tzeu (lì zì) devinrent l’écriture courante, tandis que les 小篆 Siao Tchwan (xiǎo zhuàn) (petite écriture) restaient l’écriture classique.

Comme il arrive d’ordinaire, une fois la voie ouverte, les inventions se succédèrent.

Durant ses campagnes contre les 匈奴 Hsiong Nou (xiōng nú) Huns, pendant le règne de  秦始皇帝 Tsin Cheu Hwang Ti (qín shǐ huáng dì  259-210 A.C.), le général 蒙恬 Mong T’ien (mēng tián) inventa ou perfectionna le pinceau, l’encre et le papier.

Ce fut un désastre pour les caractères. Un pinceau n’écrivant pas à rebrousse-poil, certaines figures devenues inexécutables furent remplacées par des traits arbitraires, fantastiques.

De plus, les instruments eux-mêmes y mirent du leur.

Le papier boit: de là des pleins, des déliés, des bavures, choses inconnues des anciens. Fait de poils raides et élastiques, le pinceau s’écrase quand on le pose, se tord quand on tourne, décoche sa pointe quand on le relève.

De là des renflements, des genoux, des crocs, nullement intentionnés, qui sont le fait de l’instrument.

Donc l’écriture classique actuelle, 楷書 Kai Chou (kǎi shū), (Wieger l’appelle 楷字 Kié Tzeu), est ce que le pinceau a fait des 小篆 Siao Tchwan (xiǎo zhuàn)(petite écriture).

Nous ne sommes pas au bout…

Le pinceau marchait vite. On le fit courir. Il courut, ligaturant les traits, donnant le jour aux 連 筆字 Lien Pei Tzeu (lián bǐ zì), écriture dont les caractères sont soudés les uns aux autres…

On fit alors voler le pinceau. Il vola, jetant sur le papier des figures informes qu’on appela 草字 Ts’ao Tzeu (cǎo zì), l’écriture cursive.

L’engouement pour ces nouveautés devint de la fureur. Au commencement de l’ère chrétienne, un lettré eût cru se déshonorer en écrivant lisiblement. L’arbitraire régnait en maître.

Dans cette crise, l’initiative d’un particulier sauva ce qui pouvait être sauvé.”

En résumé, on distingue trois grandes époques de l’écriture chinoise ancienne:

古文 Kou Wen (gǔ wén), les caractères archaïques, du 22ème siècle A.C. au 9ème siècle A.C.

大篆 Ta Tchwan (dà zhuàn), la grande écriture, du 9ème siècle A.C. à 213 A.C.

小篆 Siao Tchwan (xiǎo zhuàn), la petite écriture, de 213 A.C. au début de notre ère.

Apparaît alors au début de notre ère 楷書 Kai Chou (kǎi shū), l’écriture classique actuelle à partir de l’apparition du pinceau, qui sera remplacée en 1953, par l’écriture simplifiée. Cette écriture simplifiée s’accompagne du Pin Yin, transcription phonétique du chinois en caractères de l’alphabet romain.

說文 Chouo Wen (shuō wén)

說文解字

Chouo Wen Tchié Tzeu (shuō wén jiě zì)
 Réimpression moderne d’une édition parue sous la dynastie 宋 Song (sòng, 960-1127)

Le  說文 Chouo Wen (shuō wén) est un ouvrage du début du 2ème siècle de notre ère, (vers l’an 120) rédigé par le spécialiste des Cinq Classiques,  許慎 Hsu Chen (xǔ shèn 58 – 147).

C’est le premier dictionnaire de caractères chinois à proposer une analyse de leur composition et à les classer à l’aide de clés.

Son titre est: “Explication des pictogrammes (文 Wen, wén) et des idéo-phonogrammes (字 Tseu, )”. L’ouvrage aurait été achevé vers 100, mais ne fut présenté à l’empereur qu’en 121 par  許沖 Hsu Tchong (xǔ chōng), fils de 許慎 Hsu Chen (xǔ shèn).

Wieger nous raconte:

“Vers l’an 120 de J.C., après de longs voyages entrepris pour se procurer les originaux authentiques, un lettré déjà célèbre, 許慎 Hsu Chen (xǔ shèn) publia le 許慎解字 Hsu Chen Tchié Tzeu (xǔ shèn jiě zì), répertoire des 小篆 Siao Tchwan (xiǎo zhuàn), petite écriture alors existants, contrôlés, expliqués, classés sous 540 clés rationnelles.

Le but de 許慎 Hsu Chen (xǔ shèn) fut d’arrêter l’altération ultérieure de ces caractères, en mettant leur forme authentique entre les mains de tous les lettrés.

Son livre contient 9353 articles, plus 1163 doubles, 10515 caractères en tout.

Il ne fut pas moins utile à la nation, disent les admirateurs, que les canaux du 大禹 Grand Yu (dà yǔ fondateur de la dynastie des 夏 Hsia (xià).

Il est resté depuis lors le canon des 字 Tzeu (), l’autorité que la philologie chinoise consulte dans ses doutes.

Tous les dictionnaires édités depuis dix-sept siècles, par le gouvernement ou des particuliers, se vantent d’avoir suivi le 說文 Chouo Wen”(shuō wén).

Wieger ajoute:

“Mais l’œuvre de 許慎 Hsu Chen (xǔ shèn) eut un effet bien plus important que la conservation des caractères 小篆 Siao Tchwan (xiǎo zhuàn) de petite écriture.

Elle devint le point de départ de recherches archéologiques qui mirent au jour des textes nouveaux, et d’études philologiques qui expliquèrent ces trouvailles.

De là des éditions augmentées et commentées du  說文 Chouo Wen (shuō wén), et d’importants ouvrages spéciaux.

Avec le temps, s’alignèrent des séries de formes anciennes, copiées sur des pierres ou des bronzes déterrés, sur des livres retirés des tombeaux ou des cachettes, dans toutes les parties de l’empire.

L’étude de ces séries permet de suivre le développement de la plupart des caractères.

Elle permet aussi souvent de rectifier les erreurs d’interprétation de 李斯 Li Seu (lǐ sī) et de 許慎 Hsu Chen (xǔ shèn).

Elle a fourni la matière des leçons étymologiques contenues dans ce volume.”

L’ouvrage débute par une préface suivie de 15 chapitres. Il renferme donc, ainsi que nous le dit Wieger, 9353 caractères et 1163 variantes classés sous 540 clés.

En fait, 34 des clés ne correspondent à aucun caractère et 159 à un seul. Ce choix n’est pas conforme à la logique des dictionnaires ultérieurs qui cherchent à regrouper le maximum de caractères sous le minimum de clés, et pourrait avoir été dicté par des considérations numérologiques et cosmologiques.

Chaque clé semble être sémantiquement ou phonétiquement reliée à ses voisines.

Chaque caractère de petite écriture: 小篆 Siao Tchwan (xiǎo zhuàn) est suivi d’un caractère de sens similaire, d’un homophone indiquant la prononciation puis de son analyse sémantique ou phonétique et de sa catégorisation dans l’une des quatre premières des six catégories de caractères ( 六書 Liou Chou (liù shū). Des variantes peuvent être indiquées, soit de grande écriture: 大篆 Ta Tchwan (dà zhuàn), soit de style archaïque: 古文  Kou Wen (gǔ wén). Suivent parfois une seconde définition, des précisions sur l’usage régional ou une citation.

Martine Lapéronnie-Pierron

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